Pourquoi j’ai choisi d’être ambassadrice Kitiwaké ?

 

Bonjour Joy ! Merci beaucoup d’avoir accepté notre invitation ! Tu es professeure de yoga depuis maintenant 4 ans. Pourquoi as-tu décidé d’être ambassadrice de Kitiwaké ?

 Je me suis naturellement tournée vers Kitiwaké car je partage ses valeurs et j’ai toujours eu la volonté de promouvoir des produits de qualité. Je souhaite influencer positivement mes élèves afin qu’elles fassent les bons choix de tenues à la fois en termes de qualité, de matière, de provenance et de respect de la nature. Il y a aussi, l’image et la notoriété. Grâce à la marque, je bénéficie de son réseau, de sa visibilité. Mais ça marche aussi dans l’autre sens ! De mon côté, j’apporte ma joie de vivre, mon énergie et ma bienveillante communauté. 

En quoi cette marque te ressemble plutôt qu’une autre ? 

Il y a trop de marques dont l’origine est obscure. On vous vend un produit made in france avec un drapeau tricolore sur l’étiquette alors que les matériaux sont importés ou bien transportés à l’autre bout du monde pour assemblage. Avec Kitiwaké, tout est conçu au Portugal : précisément à Barcelos, au nord de Porto. Alors ce n’est pas en France mais presque : si on se place à Toulouse par exemple (il n’y a pas que Paris), Barcelos est situé à la même distance que Lille (rires). Et surtout ce n’est pas fait en exploitant des mineurs ou dans des conditions de travail inhumaines. Enfin, la durabilité et la performance d’un vêtement vont généralement de pair avec la qualité du textile. Même si ce n’est pas toujours vrai pour certaines marques ! À nous de s’informer et de tester !

Peux-tu nous en dire plus sur les engagements de la marque ? 

Au risque de me répéter, je vous invite à lire la charte de Kitiwaké. Je félicite les créatrices d’avoir trouvé une fibre « recyclable à vie » avec des propriétés équivalentes au nylon. Nommée « Econyl », elle est créée à partir de déchets plastiques issus de la pêche. Peu de gens le savent mais par exemple, en mers celtiques (Nord-Est de l’Atlantique), les déchets issus de la pêche (casiers, filets, matériels provenant de l’élevage de moules) représentent jusqu’à 90% des déchets marins* ! C’est moins dans d’autres océans et mers (tout dépend de l’activité terrestre et maritime) mais les déchets de la pêche sont une des causes majeures dans la disparition des espèces et la pollution des mers…!

La matière est aussi conçue à partir de graines de ricin ! Je crois qu’on peut difficilement faire mieux en termes de « sobriété » pour utiliser un terme qu’on nous a beaucoup rabâché. 

Que penses-tu de la fourchette des prix appliquée ? 

Kitiwaké fixe ses prix avec beaucoup de transparence et de sincérité. Le prix des articles correspond quasiment au coût de fabrication en atelier. Des ateliers qui sont sélectionnés et audités régulièrement pour leurs engagements environnementaux et sociaux. 

Pas non plus de collections à n’en plus finir comme l’abominable Fast Fashion. Comme chaque tenue de sport, les tenues de yoga ont cet avantage de pouvoir être portées toute l’année et ne sont pas soumises au diktat des saisons ! Il y a l’adage « consommez moins mais consommez mieux ! ». Je rajouterai « Achetez moins mais achetez mieux ! »

Enfin, quelle est ta façon de promouvoir Kitiwaké ? 

Je porte la marque, j’en parle, je poste ! Ça me tient à cœur ! 

J’ai un code promo pour que mes élèves bénéficient de 20% sur la boutique : JOY20 ! Je ne touche aucune commission. C’est un cadeau que je fais à mes élèves afin qu’elles puissent s’offrir une tenue et participer à la transition écologique. 

Un dernier mot peut-être ? 

Un grand merci à Cannelle, la fondatrice, qui est un petit ange de gentillesse et de bienveillance ! Et ça, ça fait toute la différence ! 

*(source IFREMER)

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